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– Toute personne possédant encore un droïde d’ici 48 heures sera passible d’excommunication, de privation de ses droits civiques, ainsi que d’une forte amende !
Située aux frontières de la sphère d’influence terrienne, la planète Stalion vient de connaître un changement de gouvernement.
Cantor, le chef du parti Néo-Croisé, vient de promulguer une loi anti-droïdes.
Se désintéressant de la politique deux ados nommés Trishie & Julep se rendent furtivement dans une décharge pour subtiliser des pièces. Ils découvrent un droïde endommagé.
L’examen de sa mémoire permet de retrouver une conversation de plusieurs personnes (Cybot, Nao, Rabah et Carlo) préoccupés par une catastrophe imminente.
Et c’est parti pour le flash-back qui implique la découverte épave de « l’Étoile Blanche », vingt après que Cybot le robot-nurse ait réussi à sauver un jeune bébé nommé Nao de ce vaisseau spatial en perdition (1).
Astucieusement, cette histoire se déroule sur deux époques : les aventures de Trishie & Julep et celle des amis humains de Cyboot. Cependant, deux questions se posent : comment Cybot s’est-il retrouvé dans une décharge ? Et surtout, combien de temps séparent les deux époques ?
(1) cf. le premier tome de la série Aquablue
Damien Dhondt
Scénario : Thierry Cailleteau, Dessin : Ciro Tota, Couleurs : Isabelle Rabarot _ Aquablue Étoile blanche première partie _ Edition Delcourt, Collection Conquistador _ septembre 2001 _ Réédition, grand format, 48 pages couleurs _ 14,95 euros
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