Dans les tomes précédents :

Light Yagami, brillant lycéen, ramasse un carnet noir appelé Death Note. Celui-ci prétend être un livre de la mort : quiconque inscrit le nom d’une personne verra celle-ci décéder de crise cardiaque peu de temps après. Sans trop y croire, Light tente... et découvre peu à peu les vertus magiques du carnet, ainsi que son ancien propriétaire Ryuuk, un Shinigami (dieu de la mort) qui s’est délibérément débarrassé du livre pour s’amuser. Light se sent investi d’un pouvoir divin et décide d’éradiquer la criminalité de notre monde. Mais c’est sans compter la police qui s’adjoint les services de L, un brillantissime détective privé.
Alors qu’un jeu de chat et souris s’instaure, un second Kira (c’est le nom du tueur donné par la population) apparaît. C’est Misa Amane, une jeune star montante, qui entre en contact avec Light. Ce dernier compte l’utiliser pour éliminer L, mais celui-ci le devance en arrêtant Misa.

Dans ce volume :

Light doit revoir ses plans et demande à être placé sous surveillance et abandonne le Death Note. Apparaît alors un nouveau Kira, appartenant au groupe Yotsuba, un géant financier. Mais ce dernier ne tue pas pour punir les méchants mais pour asseoir sa position sociale. L imagine un stratagème pour vérifier sir Light est bien Kira ou non. Pendant ce temps, le policier Matsuda veut prouver aux autres que lui aussi peut servir à faire avancer l’enquête et s’introduit seul dans le building de Yotsuba.

Le manga de l’année, toute catégorie confondue ! L’intrigue autour de Light piétine un peu et le personnel de Yotsuba est mis en avant. C’est un peu dommage, j’aime moins ce pan de l’histoire qui est beaucoup plus proche d’un manga policier que ce dont nous étions habitués.

(Virginie Liégeon)

Death Note tome 5 - Tsugumi Ohba (scenario) et Takeshi Obata (dessin) - traduit du japonais par Myloo Anhmet - Editions Kana - ( août 2007) - Inédit, poche, sens de lecture japonais, 208 p. 5,95 euros