Une équipe de reportage filme l’incroyable aventure de Cody Maverick, un pingouin. De sa banquise natale où le jeune Cody rêve de devenir le champion du monde des surfeurs. Il espère intégrer le monde prestigieux de la compétition, pour être enfin reconnu. Cody quitte son univers glacial pour rejoindre le paradis ensoleillé de l’île de Pin Goo où va se dérouler la compétition. A travers de multiples rencontres son ambition va évoluer...
Délirant. Saviez vous que le surf à été inventé par des pingouins ? Voici le point de départ de ce film d’animation à la fois hilarant et captivant.
Ce dessin animé se donne comme un documentaire sur l’univers du surf, où tous les surfeurs sont des pingouins. A noter, la participation de Kelly Slater champion de surf reconnu qui donne sa voix à son avatar.
Tout au long de ce film, nous suivons l’itinéraire de Cody Maverick un aspirant surfeur atypique : il vie sur la banquise. Son rêve devenir un champion à l’égale de son idole « Big Z ».
Comme dans un documentaire réel il y a des interviews des proches, ainsi que des adversaire de Cody.
Ce film facilite l’identification à la fois des plus petits et des plus grands avec ce personnage fort attachant. Les Rois du surf repose sur une gamme de sentiment disparate.
L’humour est presque omniprésent avec les rencontres hautes en couleur que Cody fait tout au long de son itinéraire.
Deux autres personnages (pingouins) sont irréstiblement drôles. Dans un premier temps, Chicken Joe un poulet allumé champion de surf qui plane plus qu’il ne surf. Complètement naïf et décalé, chacune de ses apparitions s’accompagne d’un grand éclat de rire. Ainsi il croise une tribu de pingouins cannibales qui le plongent dans une marmite. Pour Chicken Joe, il s’est fait de nouveaux amis qui lui ont préparés un jacuzzi avec de la nourriture dedans.
De même que le « méchant » de l’histoire, Tank, à la fois pathétique et risible.
Tous à vos planche et suivez le rythme de Cody. Si vous êtes fan de surf, venez voir ce nouvel aspect des plus rafraîchissant et amusant.

Christelle Haider