Une étude rétrospective a été effcetuée sur la mortalité due au smog de londres de 1952.
A l’époque on avait attribué cette importante hausse de la mortalité à la grippe.
Or, des études prcises ont prouvé le contraire : cette pollution aiguë a entraîné une augmentation de la mortalité importante.
De nos jours, chaque année, on évalue à 800 000 décès dus à la pollution atmosphérique urbaine dans le monde et à 1,6 million de décès dus à la pollution intérieure (à l’intérieur des locaux).
Alain Pelosato
Source Environnement risques et santé