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  Sommaire - Films -  S - Z -  Shark Bay
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"Shark Bay" de James Nunn

Lire 2800 chroniques de films dans le livre d’Alain Pelosato, grand format 15x23, 700 pages) :
123 ans de cinéma fantastique et de SF - essais et données pour une histoire du cinéma fantastique - 1895-2019
 

Shark Bay
de James Nunn (2021)

Un superbe « survival »., très classique mais si bien filmé ! Et en même temps, une histoire de siège subi, duquel on ne peut pas s’échapper, et ceci dans la mer immense. Un film à la « Délivrance » de John Boorman (1972). Et ils se sont donné du mal pour réaliser un film au milieu de l’océan avec cinq jeunes et belles personnes naufragées sur un jet-ski en panne.
Le début du film annonce la couleur avec des vues sous-marines et une musique dramatique : le danger vient de la mer !
Puis scènes de fêtards au bord de l’eau, manière élégante (et classique) de présenter les personnages et leur caractère : trois jeunes garçons et deux jolies filles.
Au petit matin, bien éméchés, deux garçons volent deux jet-skis et toute l’équipe va « faire un tour en mer ». Aïe !
La course en mer est filmée de manière formidable avec des vues aériennes, des gros plans, et c’est l’accident.
Un garçon est blessé, il saigne ; cela attire les requins, le sang.
De plus un des jet-skis a coulé. Un jet-ski pour cinq jeunes en perdition. Celui qui reste flotte, mais le moteur ne démarre plus.
Des survivants naufragés, un grand requin et le quatrième survivant nage pour trouver du secours.
Les scènes avec le requin sont superbement… épouvantables… et les « études de caractère » sont excellentes. Les décisions à prendre sont difficiles. Les femmes sont très courageuses, les hommes un peu lâches, les requins rôdent et la mer est immense.
Pour les requins, nous ne sommes que de la nourriture, et rien d’autre !

Alain Pelosato

Écrire des livres sur le cinéma mange un temps énorme : il faut voir les films (ils durent chacun 1 H 30 et plus...) prendre des notes et rédiger la chronique. Je rédige les chroniques selon mon humeur pendant le visionnage du film. Parfois, quand je relis une de mes chroniques d’il y a vingt ans j’ai changé d’avis entre temps, mais je ne change pas la chronique qui est un avis daté... Mes travaux chroniquent des milliers de films ! Ensuite il y a des études sur le fantastique en littérature (car beaucoup de films sont adaptés de chefs-d’œuvre littéraires). Souvent, et cela en étonne certains qui, parfois, le critiquent de manière agressive, je suis très bref pour certains films qui sont de très bonnes créations (parce que je n’ai rien à dire de plus) et je relate en détail le synopsis de films de séries Z, car j’aime ces films et celles et ceux qui se donnent du mal à les réaliser, et les raconter est le seul moyen d’en parler sauf à en dire du mal... Enfin, sur la taxinomie : par exemple j’ai confectionné un livre intitulé "Loup... garous et autres loups fantastiques au cinéma...", et donc ce n’est pas un livre sur les loups-garous, mais sur les loups dans le cinéma fantastique (dont les films de loup-garou sont une petite partie) .
Chacun a sa petite idée des genres, et cette idée demande le respect et non pas l’insulte...
Bonne lecture chères amies et chers amis.

Alain Pelosato



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