– Qu’est-ce que tu faisais ? Dans le passé ?
– J’étais une protectrice de la Terre.
– On dirait que tu as échoué.

Wonderwoman émerge de son sommeil. Sa capsule d’hibernation a été brisée lors de l’affrontement entre un monstre mutant et des jeunes membres du clan de Theyden. C’est ainsi qu’elle découvre une Terre dévastée, apparemment par une guerre nucléaire. La mémoire de l’Amazone est incomplète et ses pouvoirs sont réduits. Mais elle a confiance en ses nouveaux amis. Ceux-ci la mènent à Theyden où elle est capturée. Le chef du clan compte en faire sa nouvelle épouse. Wonder Woman n’en veut pas à Dee la jeune éclaireuse qui la trahie. Elle lui rappelle sa rencontre avec la première personne qui ne soit pas une Amazone. Ce pilote, venu du monde extérieur, avait un regard partagé entre la peur, la curiosité et la tendresse.

Situé dans un lointain futur, ce récit se déroule dans un monde post-apocalyptique où apparemment Wonder Woman est la seule superhéroïne survivante. Peu à peu, les pièces du puzzle s’assemblent afin de révéler ce qui s’est passé.

Durant le périple de Wonder Woman, sont révélés de nombreux travers de l’humanité. L’un d’entre eux est la peur. Un flashback nous montre la rencontre entre Diana et Steve Trevor. Celui-ci avait la main près de son arme.

Damien Dhondt

Scénario & Dessin : Daniel Warren Johnson, Couleur : Mike Spicer _ Interview de Jim Lee & Daniel Warren Johnson _ Wonder Woman Dead Earth _ Edition : Urban Comics, Collection DC Black Label _ novembre 2020 _ Inédit, grand format, 208 pages _ 20 euros