Communiqué de l’éditeur :
FAITES SUER JACK BARRON !
C’est le titre d’une émission très populaire dans l’Amérique de l’avenir proche.
Si quelqu’un vous ennuie, faites suer Jack Barron, le redresser de torts.
Il ne craint personne, ni le gouvernement, ni l’administration, ni les banques, ni votre propriétaire.
Et si l’on vous refuse le droit à l’immortalité ?
ALORS, PRENEZ VOTRE TELEPHONE ET FAITES SUER JACK BARRON !
Par sa violence, sa crudité aussi, ce roman qui relate les péripéties sauvages d’une lutte pour le pouvoir – et pour l’éternité – entre deux formes de puissance – celle de l’information et celle de l’argent – a secoué l’Amérique.
Jack Barron et l’éternité, de Norman Spinrad, (Bug Kack Barron, 1969), traduit de l’anglais par Guy Abadia, J’ai lu, collection « Nouveaux Millénaires, décembre 2015, 388 pages moyen format, 15 euros.
Chronique d’Hervé Lagoguey dans SF Mag 92