Une espèce d’adaptation de la nouvelle d’Edgar Poe souvent adaptée de près ou de loin au cinéma.
Une jeune fille est toiletteuse dans une animalerie. L’idée est bonne.
Elle fait la toilette d’un chat qu’elle remet à son propriétaire qui meurt dans l’ascenseur en compagnie du chat. La jeune fille est claustrophobe. Elle est amenée à recueillir le chat. Le fantôme décomposé d’une petite fille lui apparaît parfois. Sa psychiatre en conclut qu’elle va mieux (!). Décidément les psychiatres sont mal vus dans les films d’horreur... D’ailleurs le père de la jeune-fille est interné dans un hôpital psychiatrique...
Le rythme du film est très lent.
La copine de la jeune-fille meurt dans un placard (gare à la claustrophobie).
Le chat devient méchant. La jeune-fille le ramène à son propriétaire qui ne le veut pas car il porte malheur. Elle tente alors de l’abandonner. Les morts atroces se multiplient.
Vengeance d’outre-tombe ? Enterrée vivante ?
Tout cela est très claustrophobique.
