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Sommaire - Interviews -  Tony Scott, Denzel Washington, Jerry Bruckheimer (Film "Déjà vu")


"Tony Scott, Denzel Washington, Jerry Bruckheimer (Film "Déjà vu")" de Stéphane Thiellement


Conférence de presse du film avec Tony Scott, Denzel Washington, Jerry Bruckheimer

Est-ce le fait de toucher à la Science-fiction qui vous a motivé pour faire ce film ?

Tony Scott : Non, parce que je ne pense pas que ce soit de la pure Science-fiction. Pour moi, on s’est plus appuyé sur le mot « science » sur lequel on a a bâti une histoire de fiction. L’autre point qui m’a accroché dans ce scénario, c’est son histoire d’amour, construite à l’inverse de ce qu’on fait habituellement. J’ai été touché par cet élément du scénario, peut-être même plus que par les autres.
Denzel Washington : Je dirais que c’est pour le plaisir de tourner avec Tony, que j’apprécie énormément.

Quel fut la séquence la plus difficile à tourner ?

Tony Scott : Certainement celle de la poursuite automobile où Denzel voit deux visions de la route devant lui, une présente et l’autre déjà vieille de quatre jours.
Denzel Washington : Je suis d’accord car pour moi, il fallait en plus que j’imagine une partie de ce que j’étais censé voir.

« Déjà vu » possède une explosion en début de film impressionnante, typique de vos productions. Quel serait justement les plus incroyables séquences d’explosion de tous les films que vous avez produits ?

Jerry Bruckheimer : Oh, pour moi, elles sont toutes excellentes. Si, je citerai quand même « Pearl Harbour » qui est à mes yeux ce que j’ai fais de plus colossal dans ce domaine.

Si vous aviez la possibilité de revenir en arrière dans le temps, que changeriez-vous dans votre vie ?

Denzel Washington : Dans ma vie ? Rien. Je serai mal placé pour dire que je n’ai pas une vie que beaucoup aimeraient avoir.
Jerry Bruckheimer : Pareillement, je me considère comme extrêmement chanceux.
Tony Scott : Si je devais changer une chose, ce serait d’avoir eu mes enfants en étant plus jeune. Pour en profiter plus. Mon regret est de les avoir eus un peu trop tard.

Propos recueillis le 6 Décembre 2006




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