2016

Une autoroute, un camion passe la barrière. Il heurte un animal sauvage qui meurt sur le coup. Mais non, il n’est pas mort, il se relève : c’est un animal zombie !

On se retrouve dans un bureau avec un employé. On peut lire une annonce sur un journal posé sur l’écran de l’ordinateur : « Réservoir Jinyang, des poissons morts. »

Il est question d’un divorce et la fille de l’homme doit aller à Buzan. Il semble que le père subit des reproches de ne pas s’occuper de sa fille, alors il l’accompagne.

Les problèmes familiaux, les cours à la Bourse, etc. ne sont rien en comparaison de ce qui va suivre, bien sûr. « Il faut aller jusqu’au bout, quoi que tu fasses… », dit le père qui doit s’arrêter devant un convoi de secours sirènes hurlantes. (Les choses se précisent…)

Le train est en gare : le pilote, le personnel, les pas-sagers ; il n’y a qu’une heure de train. Un petit gar-çon « contaminé » s’introduit dans le train. Dans la gare c’est l’apocalypse ! C’est horrible, le suspense est à son comble ; les infos à la télé sont drama-tiques, et les zombies se déchaînent dans le train. C’est terrifiant dans ce lieu clos.

(C’est curieux, dans ces films de zombies, les victimes se laissent faire…)

Les morts-vivants forment une meute !

Enfin, on voit un homme qui se défend bien contre ces monstres à visage humain.

« Ils ne savent pas ouvrir une porte ! »
« Ils attaquent en nous voyant », déclare notre hé-ros du début.

Le train s’arrête en gare, car la radio leur avait dit que l’armée serait là. Mais non, il n’y a personne.
La petite fille veut aider, elle reproche à son père hésitant : « Tu ne penses qu’à toi ! »

L’armée est bien là, mais tous les militaires sont devenus des zombies !

Il y a toujours, les salauds et les autres qui veulent aider…

Si vous regardez ce film, vous serez toujours tendus comme un arc.

Un film de zombies ultraviolent.

La fin est très émouvante.

Alain Pelosato