1) George A. Romero
I Patti Nel Caso Di Mister Valdemar

Un cimetière ; un taxi arrive.

Une femme « réfléchit à voix haute ». Elle va voir un homme de loi pour récupérer les biens de son mari mourant. Puis elle rejoint son amant qui tient le mourant en son pouvoir. « C’est morbide ! Effrayant ! » déclare la femme. Petite scène de ménage du couple. Jessica a des remords, mais son amant veille. Il hypnotise Valdemar et lui fait signer des documents financiers. « Un million de dollars à partager. » Mais le mari meurt. Pour pouvoir récupérer l’argent, il faut conserver le corps trois semaines. Alors qu’ils le font dans le congélateur de la cave, la culpabilité ronge la jeune épouse. Culpabilité et hantise vont ensemble. Ici, la hantise est originale : le dialogue entre la victime congelée et son assassin. Et ensuite, il se passe encore bien des choses ! Les méchants sont toujours punis, hein ?

2) Dario Argento
Il Gato Nero

Une femme coupée en deux par un balancier (on voit la référence…).

Un journaliste a pris plein de photos de l’assassinat. Le chat n’aime pas le journaliste et le persécute, car il n’aime pas être pris en photo. Et le photographe le tue ! Puis il s’enivre et bat sa femme, ce qui n’a pas l’air de plaire au chat.

Dehors c’est la fête des sorcières ? Le chat dit à la femme qui est son assassin qui est empalé ! Mais ce n’était qu’un cauchemar.

Le journaliste photographie le corps d’une pauvre femme martyrisée. C’est un spécialiste de ce genre de « reportage ». On a du mal à suivre ? C’est du Dario Argento, hein ?

Le photographe va aller jusqu’au meurtre et redoubler d’astuces morbides pour le cacher. C’est sans compter sur… le chat !

La fin est soudaine et inattendue…

Alain Pelosato