film fantastique
 
– Qu’est-ce que je suis, si je ne suis pas humaine ?

Dans les clubs new-yorkais, il se passe bien des choses originales. Mais rien n’aurait pu préparer Clary (Lily Collins) au spectacle d’un meurtre. Mais le plus surprenant c’est qu’à part elle personne n’a semblé remarquer cet assassinat.
De retour chez elle Clary se fait attaquer par un démon. Elle est sauvée par Jace (Jamie Campbell) qui lui explique qu’elle, sa mère, lui et d’autres sont des Chasseurs d’Ombre. Des quoi ?! Des hybrides : leur héritage génétique moitié-humain, moitié-angélique leur permet de percevoir les démons tout en leur procurant des pouvoirs. Autre chose ? Les loup-garous sont censés être neutres dans le combat entre Chasseurs d’Ombre et démons. Cependant, ce n’est pas le cas des vampires. Vraiment ? Et quoi d’autre ? Oh, ce n’est sans doute rien. Mais la voisine de Cleary est une sorcière.
L’enjeu de la lutte repose sur la quête de la Coupe Mortelle, l’un des trois "Mortal Instruments" qui furent remises aux Chasseurs d’Ombre par l’ange Raziel.
Cette adaptation du roman (1) de Cassandra Clare se révèle riche en combats (physiques et magiques), rebondissements et révélations.
Hélas, les créatures démoniaques appelées "critiques de cinéma" avaient émis un jugement négatif. De ce fait la sortie d’un second volet au cinéma avait été annulée. Par contre, un reboot ayant pour cadre une série télévisée a été tourné et est actuellement diffusé sur Netflix.
(1) édité en France chez Pocket jeunesse

Damien Dhondt

Titre original : "The Mortal Instruments : City of Bones"
Réalisateur : Harald Zwart
Histoire originale : Cassandra Clare (d’après son roman)
Scénariste : Jessica Postigo Paquete
Audio : Dolby Digital 2.0 & .1
Langue : Français / Anglais
Sous-titres pour malentendants
Format : 16/9 - 2.35:1
Nombre de disques : 1
Sortie : 17 février 20014
Durée : 2 h 05
Editeur : TF1 video
Prix : 6,99 euros

Bonus :

– Dans les coulisses du film :
Donner vie aux personnages
Les descendants de la coupe
– 6 scènes coupées
– Clip : «  Almost is Never Enough  »